samedi 5 mars 2011

Veolia porte plainte contre le film documentaire „Water Makes Money“

Veolia porte plainte contre le film documentaire „Water Makes Money“
La date de diffusion sur ARTE : le 22 mars à 20h40 !
http://www.watermakesmoney.com/fr/accueil.html
Plus il y a de gens qui attendent la diffusion, plus cette date sera sûre ! Et nous souhaitons que le 22 mars à 20h40 procure à ARTE le succès d’audimat que cette chaîne et ses collaborateurs ont d'ores et déjà mérité !
Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui contribuent à ce que ce film ne soit pas oublié !
Si vous voulez vous inscrire sur notre liste de diffusion et recevoir nos actualités ou si vous avez des questions : écrivez-nous àfilm@watermakesmoney.org
Cordialement
votre équipe de Water Makes Money

dimanche 5 décembre 2010

Le bide des « maisons Borloo »


Une maison à soi, en bois, d’un peu plus de 85 m², à 100.000 euros, terrain compris, avec des possibilités de prêts à taux zéro... L’idée était belle. Jean-Louis Borloo, alors ministre de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement, l’a vendue à la France entière, à grand renfort de communication, en 2005. Entre 20.000 et 30.000 de ces habitations devaient sortir de terre chaque année ! 100.000 allaient couvrir la France en 2010.
On est loin du compte, même s’il est impossible d’obtenir le nombre officiel de ces maisons miracle. Curieusement, le ministère ne communique plus sur le sujet. Il faut dire qu’il est polémique. Au Havre, les tout nouveaux propriétaires des maisons Borloo déchantent : livrées en juillet, elles ont déjà des cheminées qui fuient, des plinthes qui tombent, des fenêtres qu’on ne peut plus ouvrir... En plus de ces malfaçons, d’importants retards de livraison ont été enregistrés. Ce qui a obligé les foyers à payer en même temps leurs annuités de prêts (souvent contractés sur 30 ans !) et leur loyer.
Autre mauvaise surprise : le prix des maisons a été revu à la hausse. De 100.000 euros clefs en main, on est passé à 120.000, voire 150.000 euros. On imagine la valeur qu’auront ces biens qui s’écroulent à peine terminés, dans quelques années. D’autant qu’on peine à comprendre comment des constructions si mal finies peuvent avoir une quelconque caractéristique écologique. L’obligation de faire du bâti de qualité faisait pourtant partie des engagements du projet Borloo.
Ce genre de construction exige une main-d’œuvre qualifiée, et payée pour cela. Ce qui n’a vraisemblablement pas été le cas des salariés (?) de l’entreprise lettone retenue par la municipalité du Havre, au terme d’un appel d’offres qui a dû voir se présenter des artisans locaux ! « C’est le désenchantement, le procédé nous paraissait innovant mais le promoteur a été défaillant et n’a pas surveillé de près les travaux », regrette Agathe Cahierre, première adjointe UMP au maire du Havre, citée par l’AFP. Peut être le cahier des charges manquait-il aussi de précisions.

mercredi 17 novembre 2010

Mail indecosa cgt83

Depuis le 01/11/2010 Indecosa CGT83 s'est installé efficacement dans les locaux de l'UL de Toulon.
Un PC, une imprimante et un accès internet, donc une adresse spécifique :
indecosa.cgt83@hotmail.fr

mercredi 30 juin 2010

Compte rendu de la rencontre du 16 juin 2010

Présents : les départements du Var : Jean Louis Dourches, Martine Gau.
Du Vaucluse : Alice Pellegrini, Muriel Duenas.
Des Bouches du Rhône, représentés par : Robert Vaissière, Alain Vidal.
Excusés, pour cause d’intempéries : Marie Thérèse Prève, Didier Kieffer, pour le 06.
Jean Michel Bokaert 04.
Excusés : Philippe Antoine, Charles Yvars…..j’espère n’avoir oublié personne !

Le vif du sujet
Après un bon café de bienvenue, nous avons commencé par un tour de table de présentations……Tour de table nécessaire puisque nous étions dans les locaux de la BOURSE DU TRAVAIL, qui abrite INDECOSA CGT 83, et que cette association départementale renait de ses cendres, après des années de sommeil.
Si Jean Louis Dourches qui nous accueillait en est le secrétaire, c’est Martine Gau qui en assure la trésorerie, elle participait à sa première rencontre, d’où le tour de table.
Le premier point abordé fut un exposé non formel sur la structure d’INDECOSA et ses modes de fonctionnement, rapports avec le national, questions financières, rapports avec le CTRC, bref tout y est passé.
Venait ensuite la présentation par les camarades du Vaucluse d’une brochure de 4 pages éditée par INDECOSA 84, pour faire connaître leur association.
L’intérêt de cette présentation résidait dans les adaptations possibles pour transformer ce document local en un outil exploitable dans l’ensemble de la région.
Les modifications utiles seront apportées par le Vaucluse, qui les dispatchera dans les asso départementales.
A chacun d’en faire le meilleur usage !
Autre point abordé : celui du financement des dépenses engendrées par la création et le fonctionnement du collectif PACA.
En effet les déplacements et autres actes induits par cette organisation en ‘’ réseau’’, sont des charges pour nos associations départementales qui ne pourront pas les assumer sur leur seule trésorerie.
Il est décidé de poser la question à la Région PACA, qui est l’initiatrice de la demande de travail en commun.
Le 13, est mandaté pour faire un courrier à la région en ce sens.
Troisième point : est constitué par une proposition des camarades de Marseille, d’engager une étude sur les transports en région, qui pourrait déboucher sur une demande de rencontre avec le Conseil Régional, sur le sujet.
L’idée lancée doit faire son chemin et sera reprise dans notre prochaine rencontre, pour en déterminer les détails.
Avant dernier point :
Notre prochain bulletin bimestriel de Septembre, portera sur le surendettement ; il sera traité par Marseille.
Enfin la rencontre de la rentrée est convenue pour le Mercredi 20 octobre.
Le mercredi est retenu comme jour à  privilégier, pour permettre la participation de Marie Thérèse, qui travaille et peut être libre ce jour là.
Cette rencontre aura lieu à Marseille.


à Toulon. (Alain Vidal). 

dimanche 20 juin 2010

Les forçats de la volaille


Le groupe Doux, leader européen de la volaille sous plastique, porte bien mal son nom. Accidents du travail à répétition, refus d’adapter les postes pénibles, non paiement des temps de pause, intimidations, répression syndicale… Tel est le quotidien de nombreux ouvriers qui travaillent pour le groupe agroalimentaire. Une poignée d’entre eux tente de résister.



Des tâches répétitives et pénibles physiquement, une température de 5°C maximum, une humidité constante, un bruit assourdissant qui oblige les salariés à porter des protections auditives [1]... Tel est l’univers de travail de l’usine « Père Dodu » à Quimper (Finistère), un des sites de transformation de l’entreprise Doux, géant mondial de la volaille. Chaque jour, des milliers d’escalopes, de saucisses de volaille ou de plats cuisinés sortent des chaînes de production. Emballés sous plastique, les morceaux de volaille découpés, calibrés et standardisés alimenteront les grandes surfaces avant d’atterrir dans les frigos des consommateurs.
Urgence psychiatrique
Le travail « à la dure », les 300 salariés de Doux à Quimper connaissent. C’est leur quotidien, et celui des milliers de travailleurs de l’agroalimentaire et de découpe de volaille. Sauf que Doux ne fait rien pour leur faciliter la tâche et alléger un peu la pénibilité. Accidents du travail, maladies professionnelles, répression syndicale, remise en cause des acquis salariaux : le management chez Doux semble souvent synonyme de casse sociale.
« Aux conditions de travail difficiles s’ajoute le manque de considération voire de respect envers les salariés », constate la Commission départementale de contrôle de la médecine du travail, dont font partie syndicats et organisations patronales. En février 2010, le médecin du travail du site de Quimper observe une « majoration très nette des indicateurs de souffrance au travail tous secteurs confondus ». Des salariés de plus en plus nombreux demandent spontanément une consultation. Ils sont souvent en situation de souffrance ou de conflits, victimes de problèmes médicaux dont la nature « relevait pour plusieurs de l’urgence psychiatrique » !
Escalope cordon bleu = danger !
Le bilan social de l’entreprise interpelle. L’absentéisme est jugé « phénoménal » par Raymond Gouiffès, salarié sur le site de Quimper et délégué syndical de la CGT. Sur le site « Père Dodu », « le taux de fréquence des accidents de travail est de 98,88 % ! Cela signifie que l’ensemble des salariés du site ont été victimes d’un accident de travail dans l’année, ou que certains ont été plusieurs fois en arrêt de travail suite à un accident (chutes, heurts, coupures,…) », détaille Raymond Gouiffès [2]. Et le taux de gravité de ces accidents est 50 % supérieur à la moyenne des industries « production de viande de volaille ». A Quimper, l’escalope cordon bleu se révèle être un produit très dangereux !
Que font les managers de Doux ? Visiblement pas grand-chose. « En 2009, les pénalités de la Sécurité sociale représentent 365.000 euros à payer par l’entreprise. Plutôt que de payer des pénalités, la direction ferait mieux de s’interroger sur la réorganisation du travail, l’aménagement des postes et des cadences », relève Raymond Gouiffès. Rien qu’au mois d’avril, sur le site de Quimper, il y a eu 14 accidents de travail. Soit 5% des effectifs ! Contacté parBasta !, la direction de l’entreprise n’a, pour l’instant, pas répondu à nos questions.
Licenciements pour inaptitude médicale
Le bilan social de l’entreprise fait également état de 15 à 20 maladies professionnelles reconnues chaque année pour le site de Quimper. Des maladies souvent dissimulées au médecin du travail par les salariés : « Ils ne disent pas qu’ils souffrent, ils cachent certaines douleurs, et un jour c’est trop tard, la maladie est irréversible. Ils ne veulent pas que le médecin les déclare inaptes pour leur poste, car ils craignent des représailles de la part de la direction », raconte Raymond Gouiffès. Sur l’ensemble de ses sites en France (4.500 salariés), Doux a procédé depuis 4 ans à 235 licenciements pour « inaptitude médicale ». De quoi inciter au silence ceux qui craignent de perdre leur emploi. Si Doux a l’obligation légale de trouver un poste adapté à ces salariés en souffrance, l’entreprise utilise l’argument de l’absence de tels postes pour procéder au licenciement.
Carolina [3] a 45 ans. Elle est virée en avril, après avoir été déclarée inapte par le médecin du travail. En 1996, elle a perdu un doigt sur une chaîne où défile en cadence la volaille. Aujourd’hui elle souffre des troubles musculo-squelettiques et de courbatures. Il y a quelques années son mari a été également licencié par le groupe. « Des cas comme ça, il y en a tous les mois, précise le syndicaliste de la CGT. Les médecins du travail se sentent concernés mais sont impuissants face à tout ça. Et ces situations n’apitoient pas la direction de l’entreprise. » Celle-ci vient de signer un accord pour l’accueil de personnes handicapées. Douze embauches sont prévues dans les trois ans qui viennent. Une décision sur laquelle ironise Raymond Gouiffès : « Il faudrait peut-être d’abord s’occuper des handicaps des salariés créés par l’entreprise, avant de se targuer d’intégrer des salariés handicapés. »


« Le travail chez Doux, c’est Zola ! »
Ceux que Doux met à la porte se retrouvent souvent dans des situations difficiles. « Ils ont entre 35 et 65 ans et ne trouvent pas de poste ailleurs. Comme ils ont été déclarés inaptes, bien souvent aucune entreprise de l’agroalimentaire ne veut les embaucher pour travailler dans les mêmes conditions. Alors ils se retrouvent à la charge de la société. Tout ça parce que Doux refuse d’adapter les postes », décrit Raymond Gouiffès. « Ces salariés n’ont pas de formation scolaire poussée, mais ce sont des gens courageux. C’est le seul moyen pour eux de gagner leur vie. » Parfois au prix de beaucoup de sacrifices. « Ici, c’est Zola » a lâché une des directrices des ressources humaines quand elle est arrivée dans l’entreprise. « Les gens ont même peur de dire bonjour à la hiérarchie. Ça dit bien l’état de la situation », relève le syndicaliste. Qu’en pense Charles Doux, propriétaire du groupe et 151ème fortune française ?
Une « affaire » anime les salariés depuis quelques mois : le non-paiement des temps de pause. Suite à la dénonciation de l’accord sur les 35 heures par la direction en 2004, les pauses ne sont plus rémunérées. Les « pauses », ce sont ces 30 minutes par jour pour manger, s’asseoir, aller aux toilettes, fumer, discuter… pour ceux qui travaillent des journées entières sans interruption. Le paiement de ces heures était un avantage individuel acquis : 2h30 par semaine. Désormais, les ouvriers « marmitons » sont présents dans l’entreprise pendant 37h30 et sont payés 35h. 1.200 salariés français du groupe ont porté l’affaire aux prud’hommes. Le verdict est tombé en avril : en appel, puis en cassation, le tribunal a donné raison aux salariés, représentés par la CGT. Une décision de justice qui se concrétise par 6.000 à 7.000 euros d’arriérés versés pour chaque salarié plaignant. « Ce n’est même plus une question de droit, mais une question d’honnêteté vis-à-vis des salariés », assène le juge d’exécution du tribunal de grande instance de Quimper.
25.000 euros d’arriérés de salaire
Cette victoire signifie aussi 100 euros bruts par mois en plus sur le bulletin de salaire pour les salariés payés au Smic. Cela ne s’est pas fait sans mal : « Des responsables de la direction sont passés dans tous les sites et ont dit aux salariés que le droit individuel acquis, c’est aléatoire. En échange d’un arrêt de la procédure, ils ont proposé à chaque salarié 500 euros, payables en deux fois ! », s’indigne Raymond Gouiffès. 270 salariés auraient accepté cette proposition. « Il faut du culot pour aller dire à des salariés, qui n’ont pas de connaissances juridiques, que ce droit est aléatoire, alors même que la Cour de Cassation s’était déjà prononcée sur le sujet ». 500 euros, contre un manque à gagner pouvant aller jusqu’à 30.000 euros ! « Pour un salarié de 40 ans, cela représente 25.000 euros jusqu’à la retraite, en plus des arriérés de 6.000 euros. Et encore, c’est sans compter les conséquences sur le montant des pensions de retraite. C’est intolérable que les politiques et le préfet du Finistère n’aient pas tapé pas du poing sur la table ». Doux continue de jouer la montre et utilise tous les recours possibles pour refuser de verser l’argent, allant jusqu’à assigner plus de 600 salariés au tribunal de grande instance, au motif que l’huissier avait mal orthographié leur nom ou leur adresse.
L’aboutissement de ce marathon judiciaire, les salariés le doivent au temps passé par quatre délégués syndicaux. Ils ont épluché les bulletins de salaires et calculé les arriérés dus à chacun. Quatre salariés contre l’armée d’avocats du cabinet Capstan qui défend les intérêts de la direction du champion européen de la volaille. Et des salariés dont l’entreprise ne paye plus les heures de délégation syndicale exceptionnelles, nécessaires au montage du dossier, tant que celles-ci ne seront pas justifiées. « Depuis juillet 2009, je gagne 600 ou 700 euros par mois au lieu de 1.200 euros, témoigne Raymond Gouiffès. Les trois autres salariés ont été obligés de reprendre le travail. Je reçois des mises à pied incessantes, des lettres recommandées tous les jours, mon nom n’est mis sur aucun planning de travail ».

Harcèlement syndical
Le précédent délégué syndical central est également en conflit avec Doux. Après avoir refusé un reclassement suite à la fermeture d’une usine, il a fait l’objet de trois procédures de licenciement, au motif qu’il n’existait aucun poste adapté à sa qualification. Trois fois la procédure a été annulée par l’inspection du travail. Le ministère du travail, saisi de l’affaire, a confirmé à chaque fois cette décision. Un recours au tribunal administratif a été déposé par Doux, et une quatrième démarche de licenciement est en cours. Depuis 2004, ce salarié est payé mais n’est affecté sur aucun poste. Une forme de « harcèlement syndical » selon Raymond Gouiffès. Autre moyen de décourager les tentatives de contestation : un « accord seniors » est signé pour « conserver les plus de 50 ans dans l’emploi », c’est-à-dire aménager pour eux les postes et les horaires de travail. Mais l’entreprise applique des « critères d’influence » : « si un salarié a mené une action juridique contre Doux, il ne peut pas bénéficier de cet accord, s’indigne Raymond Gouiffès. Cela est totalement discriminatoire »
Selon le syndicaliste, les situations de surendettement des salariés se banalisent. Ils sont toujours plus nombreux à venir demander une aide personnelle au comité d’entreprise, « pour payer leur loyer par exemple ». « On se transforme en assistante sociale. Si les salariés se battent pour les temps de pause et veulent récupérer leur argent, ce n’est pas pour changer de voiture ou acheter une télé, mais seulement pour manger et vivre », s’indigne Raymond Gouiffès. 80 % des salariés touchent le Smic. Aucune augmentation de salaire n’a été accordée en 2009.


Délocalisations et subventions
L’entreprise met en avant sa situation financière difficile, essayant même de culpabiliser les salariés concernés par le paiement des temps de pause, qui mettrait en péril la compétitivité de l’entreprise. En 1998, le groupe a racheté le volailler brésilien Frangosul [4]. Depuis, treize usines ont fermé en France. En 2008, ce sont 650 salariés qui ont été remerciés. Le géant de la volaille bas de gamme, élevée en trente-sept jours sous les néons, s’auto-concurrence lui-même. Il inonde le marché français de poulets du Brésil, au coût de production de 0,74 centimes le kilo, contre 1,45 euro le kilo pour celui produit en France [5]. Ou comment déstabiliser la filière en France, et faire monter les prix, en se constituant des marges financières sur des produits importés par les filiales brésiliennes, tout en touchant des aides à la cessation d’activité en France.
Doux figure aussi parmi les premiers bénéficiaires des aides de la politique agricole commune, avec 62,8 millions d’euros en 2008, au titre du « soutien à l’exportation », pour que l’entreprise puisse s’aligner sur les prix mondiaux. En 2007, elle subit sa plus grosse perte, avec un déficit de 45 millions d’euros, qui vient s’ajouter à une dette de 310 millions d’euros. La fortune personnelle de Charles Doux ne semble pas affectée, passant de 200 à 300 millions entre 2006 et 2007. En 2008, l’entreprise renoue avec les profits. Le bénéfice net de l’entreprise est alors de 52,3 millions d’euros. Quant aux augmentations de salaires, ce sera quand les poules auront des dents. Chaque employé a touché, au titre de la participation sur le bénéfice en 2008, 83 centimes.

PAR AGNÈS ROUSSEAUX (Basta 12 MAI 2010)
Photos : reportage de Philippe Noisette au sein d’une entreprise de production de volaille.

Notes

[1] Deux salariés sur trois sont exposés à plus de 80 décibels, soit l’équivalent du bruit d’une voiture ou d’un aboiement constant
[2] Pour 24.998 salariés de « production de viande de volaille » en 2006, le taux de fréquence des accidents était de 51.4 (26.3 en moyenne pour l’ensemble du régime général en 2005). Source : Ministère du travail
[3] Le prénom a été changé
[4] Sur l’histoire du groupe au Brésil, lire Le Monde DiplomatiqueQuand les volailles donnent la chair de poule
[5] Source : Le Monde Diplomatique, 11 juillet 2008

Rencontre régionale du 16 juin

Trois départements étaient représentés:

Pour les Bouches du Rhone : Robert Veyssière et Alain Vidal
Pour le Vaucluse : Alice Pellegrini et Muriel Duanes
Pour le Var : Martine Gau et Jean-Louis Dourches

L'Est et Nord-Est du Var n'ont pu être représentés à cause des intempéries.

lundi 7 juin 2010

Journée du 16 juin à Toulon

Quand on vient en voiture, on arrive soit par l'ouest (Aubagne):
Aux premiers feux tricolore sur l'autoroute, on prends la file de gauche direction: Toulon Nord
Puis on suit cette direction par la rue des Dardanelles:
rue en sens unique qu'on remonte jusqu'au bout:
C'est la Bourse du Travail, on peut prendre une de ces deux places si c'est possible.
Ou alors
on peut tourner à gauche pour chercher une place dans les petites rues
ou aller tout droit de l'autre côté du pont de chemin de fer et chercher une place à gauche.

 Soit on arrive par l'est (La Farlède)
Sortir de l'autoroute sortie 1

Puis suivre gare SNCF
On passe de l'autre côté du rail, mais faut revenir du bon côté en tournant deux fois à gauche

Après être de nouveau passé au dessus du rail, on prend la première à droite
puis le boulevard Tessé jusqu'à la gare routière et SNCF.

On peut alors soit stationner au parking payant de la gare soit dans les petites rues après la Bourse du Travail.